Aujourd’hui j’ai terminé le tome 2 de Freida McFadden : Le secret de la femme de ménage et je dois dire que si j’ai tout lu en à peine 4h, je suis dubitative. Certes, c’est un page turner, mais j’ai moins de raisons de l’apprécier que le premier tome intitulé La femme de ménage. Je vais donc pouvoir les confier à ma famille en disant « bon ben ce sont des livres sur le thème des violences domestiques, bonne lecture ».
Je donnerai un bon avis sur le premier tome. Il est assez peu intéressant dans sa première moitié, cependant il devient rapidement addictif dans la seconde moitié. Je ne suis pas particulièrement attachée au personnage principal, comme dans la plupart des thrillers de la sorte je dois dire. Car il faut dire que j’en ai lus beaucoup des thrillers de ce genre, depuis La fille du train en passant par Gone Girl ou La femme à la fenêtre.
Rien de nouveau donc, sous le soleil des thrillers, même si ici, les rapports de force s’inversent à la fin, l’angle de départ est toujours le même pour les femmes. Et bien que certains pourraient arguer qu’il s’agit du premier thriller psychologique féministe, le deuxième tome est plus complexe et revient au thriller classique. Et ajoutons que ce n’est pas la première fois que ce sujet est abordé dans un thriller psychologique grand public.
Bref. J’ai lu deux bouquins en 8h, et c’était bizarre et en même temps, toujours intriguant de lire un truc aussi prenant.
Je retourne à Les Hauts de Hurle-Vent d’Emily Brontë. Je suis un brin classique et fleur bleue moi aussi. Mais je n’ai jamais lu ce roman en français. J’ai trouvé une édition vintage de France Loisirs.
Bonne soirée.
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